Sophroogie: par le médium Lisa Conti.

 » IL EST PLUS FACILE, DE DESINTEGRER LES ATOMES
QUE LES PREJUGES  » A. EINSTEIN

On s’appuie souvent sur la musicothérapie, dans les séances de sophrologie, en ce qui me concerne, j’opte pour le silence. L’induction verbale, à elle seule, berce le sujet et l’entraîne très rapidement dans un état de conscience modifiée. Quant on travaille sur soi, que l’on pose le pied sur le sentier, la musique la plus suave peut jouer les intruses, le système nerveux devient très sensible, la sensitivité se développe, et le moindre son, peut indisposer, après, on peut tirer le canon auprès de vous!!! cela ne vous fera, ni chaud ni froid!!!!!!!! Mon contrôle je le gère avec le téléphone, décroché pour les premières séances, ensuite, je laisse volontairement le combiné branché, s’il y a un appel, soit le sujet l’entend encore, mais s’en désintéresse complètement, soit il ne le perçoit pas du tout, certains plus développés, ont pris conscience
qu’un appel allait survenir, avant la sonnerie, l’être psychique étant en mouvement….. Cela, intervient, quand la motivation du travail sur soi est forte. Parfois, la musique, agit sur les différents chakras, et selon son taux vibratoire frappe l’un où l’autre, à 10 ans, l’entrée de Traviata de Verdi, a déclenché un véritable cataclisme, des pleurs sans répit, de 21 heures à 7 heures du matin, le chakra de la gorge s’est ouvert, et la rotation a commencé, c’est à la vérité, une thérapie involontaire, qui m’a délivrée, des peines et des chagrins accumulés depuis quelques années au vrai, à la masse d’énergies perverses émotionnelles, car plus que l’historique d’une vie, ce sont les vibrations énergétiques négatives qui nous détruisent, mais voilà, elles ne se voient qu’avec les yeux de l’âme, dur dur pour un scientifique!!!!!!! Lisa