Astral: par le voyant Lisa Conti.

Bonjour amis……..

Nous approchons des Fêtes de la Toussaint, pour nous, attachés à la recherche de la survivance de l’âme, c’est le 2 Novembre, le jour « DES MORTS » qui nous relie plus fortement à l’audelà…..Croyez moi, il règne dans l’astral, celui qui nous est le plus proche, une véritable effervescence; en effet, nos pensées en cette période, s’envolent plus que d’habitude vers ceux qui nous ont quittés!!!!Mes anciennes collègues du temps des GATINES, me l’ont souvent fait remarquer, nous avions ces jours privilégiés, des séances publiques d’une très grande tenue, les entités se présentaient à nous plus facilement que d’habitude, et aussi bizard que cela puisse paraître, bien souvent dans le désordre, tant ces âmes voulaient communiquer, certaines bousculant les autres, reflet encore de leur caractère terrestre, mon père en étant un bon exemple!
Depuis quelques nuits je « pars en voyage » mes incursions dans l’astral, me mettent en contact avec des âmes qui ne s’étaient jamais manifestées, ainsi dans la nuit de Dimanche à Lundi, c’est
Madame Emile, dont je vous ai entretenus déjà, qui malgré mes pensées
affectueuses depuis quelques décennies, et ce pour ainsi dire au quotidien, ne trouvait pas le chemin pour entrer en contact….. l’approche est encore ardue, c’est un détail, qui m’a confortée dans le bien fondé de ce premier contact, car si parfois, je la « voyais »
elle, ne me percevait pas!!!! Elle m’a montré, une bague, un saphir
monté sur or blanc, qu’elle portait toujours, mais que je ne gardais pas en mémoire, j’avais 13 ans, à cet âge, je ne me souçiais guère
de bijoux!!!!!! Ce contact a été très fugitif, en amont, j’étais très attirée par sa tombe au cimetière de Bagneux, où elle repose avec sa famille….. Et puis cette nuit, c’est avec mon chat Garçon
que j’ai passé un bon moment, pour faire court, j’ai encore ressenti la lourdeur de son corps astral, par rapport au mien, il était séparé de mes autres Bibis, j’ai aperçu Tcharlie, un peu plus loin, ces deux la ne se quittaient jamais, mais cette fois, j’ai compris que Garçon évoluait différemment, je faisais remarquer de son vivant
qu’il réagissait comme un chien, cette nuit, il était en compagnie de 2 chiens loup, 2 bergers allemands, ils se faisaient des papouilles, je voulais garder mon Garçon dans mes bras, le retenir,
le coeur déchiré je l’ai laissé rejoindre ses amis, son regard triste
me le réclamait…..La vérité, est difficile à accepter, mais nous allons de détachement en détachement, d’abandon en abandon…. Lisa

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