Bilocation: par le voyant Lisa Conti.

 » ON A VITE FAIT DE DIRE C’EST PUERIL, CE QUI EST
PUERIL, C’EST DE SE FIGURER, QU’EN SE BANDANT LES
YEUX DEVANT L’INCONNU, ON SUPPRIME L’INCONNU « 
VICTOR HUGO

Voici une histoire, qui pour beaucoup semblera bien étrange.
Un après-midi de 1947, une jeune Américaine, que nous appellerons Pat, se trouvait en Angleterre, chez la maman d’Allen, son petit copain. Elle se sentait anxieuse pressentant quelque mauvaise nouvelle concernant Allen, toujours en Allemagne, avec l’Armée d’occupation. Elle ne pouvait s’empécher de revoir la route dans la forêt qu’ils parcouraient souvent tous deux, en automobile. Cela se passait un mercredi. Le Vendredi, elle reçoit une lettre d’Allen, lui demandant si elle était venue en Allemagne, et comment elle était habillée?
Pat répond qu’elle est restée en Angleterre. Nouvelle lettre d’Allen, qui raconte alors une histoire bien étrange.
 » Mercredi dernier, je roulais en compagnie de deux soldats du chauffeur Allemand, pour convoyer un prisonnier. » Sur une route dans la forêt. Soudain le chauffeur a voulu doubler un gros camion remorque, hélas imprudence, aucune visibilité. A cet instant précis une jeune fille a surgit devant la voiture, agitant les bras.
Je m’écriais alors « mais c’est Pat, Gerry l’un des deux militaires, qui connaissait lui aussi Pat, remarque qu’elle devrait être en Angleterre!! »
Le chauffeur, frêne brusquement, la jeune fille disparait, à l’instant précis ou la remorque se détache et va se fracasser sur le bord de la route. Accident mortel évité de justesse!!
Tous ayant été soumis à un interrogatoire, et séparément, décrivirent la jeune fille exactement habillée comme l’était ce jour là, en Angleterre.!!!!!

Padre Pio, un champion de la bilocation, a fait mieux je le sais, mais pour un simple quidam, ça n’est pas mal! Non?

Bonne journée. LISA